

Messages

Ton ventre ne digère pas que la nourriture, il digère aussi ta vie.
Ton ventre est une mémoire.
Il avale tes repas, mais aussi tes colères, tes peurs, tes culpabilités.
Chaque nœud, chaque lourdeur, chaque brûlure est le signe qu’il garde à l’intérieur ce que ton esprit refuse de laisser passer.
Quand ton ventre se tord, ce n’est pas seulement un problème digestif.
C’est une vérité plus profonde :
“Tu m’as donné trop d’émotions à avaler, trop de blessures à retenir, trop de chocs à stocker.”
Énergétiquement, ton ventre est le siège de la transformation.
• Quand il brûle, c’est la colère qui cherche à sortir.
• Quand il se contracte, c’est la peur qui se crispe.
• Quand il se bloque, c’est la tristesse qui refuse de circuler.
Émotionnellement, il garde la trace de ce que tu n’as pas exprimé.
Chaque non-dit avalé se transforme en tension.
Chaque injustice refoulée devient lourdeur.
Chaque culpabilité se cristallise en acidité.
En Médecine chinoise, le ventre est le royaume de la Rate et de l’Estomac :
• La Rate garde les ruminations, les soucis qui tournent en boucle.
• L’Estomac exprime les insatisfactions, l’angoisse de ne jamais avoir assez ou d’avoir “trop avalé”.
• Le Foie, lui, verrouille l’énergie du ventre quand la colère n’a pas trouvé sa voix.
• Et les Intestins disent ta capacité à trier : ce que tu gardes, ce que tu rends.
Alors ton ventre ne ment pas.
Il est la boîte noire de ton existence : il enregistre tout.
Si tu veux l’apaiser, commence par un geste simple :
pose tes mains sur lui, masse-le en conscience, respire profondément.
À chaque mouvement, imagine que tu aides ton mental à libérer par le corps ce qu’il gardait prisonnier.
Ce n’est pas un massage, c’est une libération.
Le jour où tu oses digérer tes émotions, ton ventre cesse d’être une prison.
Il redevient ton soleil intérieur, ton centre de puissance, ta source de vie. 💫
— Stéphane – Harmonie Énergies
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"Lorsqu’une personne tente de te nuire, rappelle-toi ceci :
Ce n’est pas toujours à cause de ce que tu as fait… mais souvent à cause de ce que tu es.
Il y a en toi une lumière, une force, une façon d’être qui dérange ceux qui ne la portent pas en eux.
Une confiance, une authenticité, une joie ou une liberté intérieure qui leur rappelle ce qu’ils n’ont pas trouvé ou qu’ils ont perdu.
Face à cette dissonance, certains choisiront l’inspiration.
Mais d’autres, prisonniers de leurs blessures, choisiront la critique, la jalousie, la rumeur, la manipulation.
Non pas parce que tu es fautif(ve), mais parce que ta présence met en lumière leurs manques.
Alors, ne laisse pas leur venin t’empoisonner.
Ne rabaisse pas ta vibration pour leur plaire.
Reste droit(e), fidèle à toi-même, et continue de briller.
Car ce qu’ils tentent de détruire en toi…
est précisément ce qu’ils n’auront jamais en eux."
Charlotte Cellier
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Quand tu dis au revoir aux personnes qui t'ont utilisé et blessé, tu dois aussi dire au revoir à la version de toi qui a permis que cela arrive.
La version de toi qui voyait toujours le bon côté des gens. Celle qui donnait une chance à tout le monde, même quand ce n’était pas mérité. Celle qui ignorait les signes d’alerte juste pour se concentrer sur le positif.
Mais à un moment, il faut arrêter de chercher uniquement le bien chez les autres et commencer à voir ce qu’ils nous montrent vraiment.
Si tu conduis sur une autoroute et que tu ignores tous les panneaux rouges pour ne suivre que les verts, arriveras-tu à destination en sécurité ? Bien sûr que non.
Les panneaux verts indiquent le chemin, mais les rouges préviennent des dangers, comme les ralentisseurs ou les détours.
Dans la vie, c’est pareil. Il faut voir le bon côté des gens, mais aussi faire attention aux signes qui montrent qu’ils peuvent nous faire du mal.
Quelqu’un peut être généreux mais malhonnête, un bon parent mais émotionnellement distant, ou un excellent soutien financier mais blessant par ses paroles.
Ne laisse pas cette contradiction te bloquer. La réalité, c’est que si une personne ne fait pas d’efforts pour corriger ses comportements toxiques, la relation ne pourra pas fonctionner.
La version de toi qui acceptait d’être maltraitée juste parce qu’il y avait un peu de gentillesse à côté n’existe plus. Elle a fait son temps et a laissé place à une version plus forte et plus consciente.
Naniz JR.
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Faites attention aux relations avec des personnes sans intelligence émotionnelle. Elles ne vous comprendront jamais, elles personnaliseront tout et vous ne serez jamais vu ni entendu.
Faites attention aux relations avec des personnes qui ne peuvent pas réguler leurs émotions, vous serez toujours à la merci de leurs colères et de leur mauvaise humeur.
Faites attention aux relations avec des personnes sans conscience de soi, elles n'ont aucune idée de la façon dont leur comportement affecte les personnes qui les entourent, c'est donc une question de temps avant que vous ne soyez blessé.
Faites attention aux relations avec des personnes sans empathie, elles ne verront jamais ni ne se soucieront de ce que vous ressentez.
Si personne ne vous l'a jamais dit, je vous le dis maintenant.
Recherchez des personnes dans votre vie avec une intelligence émotionnelle, une conscience de soi, de l'empathie et la capacité de réguler leurs émotions, sinon vous serez à la merci de leur dysfonctionnement et paierez le prix de leur
immaturité et de leur manque de croissance.
Maria Consiglio
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« Je pensais que ma mère aimait plus mon frère… »
Et non… ce n’était pas du favoritisme.
C’était une blessure que je ne connaissais pas.
Chaque enfant connaît une version différente de sa mère.
L’un l’a connue forte… un autre, épuisée.
L’un l’a faite rire… un autre pleurer.
L’un est arrivé quand elle rêvait encore…
Et un autre, quand on voyait déjà dans son regard les rêves qu’elle avait abandonnés.
Ce n’est pas qu’elle aimait plus l’un que l’autre…
C’est que chacun a occupé un coin différent de son âme.
L’un avait besoin de plus de temps.
Un autre, de plus de patience.
Et il y en a un qui avait seulement besoin qu’elle ne s’effondre pas…
Et c’est pour ça qu’elle faisait semblant d’aller bien.
Parfois, on croit que maman a un préféré parce qu’on voit le câlin…
Mais pas l’histoire.
On voit le silence…
Mais pas tout ce qu’elle a dû taire.
On voit qu’elle donne plus…
Sans voir à qui cela a coûté le plus.
Parce que oui :
L’enfant qui a reçu le plus de câlins était peut-être celui qui était le plus brisé.
Celui qui semblait avoir tout facilement,
Était peut-être celui qui s’était le plus perdu en chemin.
Et celui qui ne demandait jamais rien…
Était celui qui avait appris à ne pas avoir besoin.
Une mère n’aime pas avec une justice mathématique.
Elle aime avec ce qu’elle a.
Avec ce qu’il lui reste.
Elle aime depuis la fatigue,
Depuis son intuition,
Depuis sa peur d’échouer.
T’es-tu déjà demandé pourquoi elle ne t’a pas pris plus souvent dans ses bras ?
Peut-être qu’elle pensait que tu étais fort.
Peut-être qu’elle n’avait plus la force.
Peut-être qu’elle attendait, elle aussi, un câlin de toi…
Elle a été femme avant d’être mère.
Fille avant d’être guide.
Et elle a dû apprendre seule à répartir son âme entre plusieurs enfants
Sans se briser entièrement.
Ne juge pas son amour à ce qu’elle a fait.
Reconnais-le à ce qu’elle a sacrifié en silence.
Aux larmes qu’elle a séchées sans que tu le voies.
Aux fois où elle a préféré souffrir seule,
Pour que tu ne te sentes pas coupable.
Et si tu l’as encore près de toi… regarde-la à nouveau.
Ce n’était peut-être pas un manque d’amour.
C’était une façon de te protéger… à sa manière.
N’attends pas de la perdre pour la comprendre.
N’attends pas d’être parent pour lui pardonner.
Et n’attends plus pour lui dire ce qu’elle a toujours voulu entendre :
« Merci, maman. De m’avoir aimé… même quand je ne l’ai pas compris. »
Chaque enfant occupe une place différente dans le cœur de sa maman…
Et même si tous ne le comprennent pas de la même façon, cet amour a toujours été là.
Il parlait simplement un langage différent.
— Make Me Read ©️✍️
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Entre le sang et la fausseté.
La famille devrait être un refuge,
le lieu où l’on trouve du soutien, du respect et de l’amour sincère.
Mais ce n’est pas toujours le cas.
Il existe des familles qui ne s’unissent pas par le cœur,
mais par intérêt.
Des gens qui s’assoient à ta table, mangent ton pain, boivent dans ton verre,
mais n’ont dans l’esprit que l’envie, la critique et la trahison.
L’hypocrisie familiale est la pire de toutes.
Parce qu’elle ne vient pas d’un ennemi lointain,
mais de celui qui partage ton sang,
de celui qui dit t’aimer mais qui, en réalité, cherche seulement à tirer profit de toi.
Ils te sourient en face et te détruisent dans ton dos.
Ils t’appellent “frère”, “oncle”, “cousin”,
mais au moment où tu as le plus besoin d’eux,
ce sont les premiers à disparaître ou à parler mal de toi.
Souviens-toi de ceci :
Toute la famille n’est pas de sang,
et tout le sang ne fait pas une vraie famille.
Parfois, les véritables frères sont ceux que la vie met sur ton chemin,
ceux qui, sans partager ton ADN,
te donnent du respect, du soutien et de la loyauté.
Ne t’accroche pas à l’idée que la famille, c’est tout,
si en son sein il y a du poison.
N’aie pas peur de mettre des limites,
de t’éloigner de ceux qui ne te cherchent que par intérêt,
de ceux qui se déguisent en affection
mais ne portent que de l’hypocrisie.
Si, à ta table, il y a des gens qui prétendent t’aimer mais ne te respectent pas,
alors il vaut mieux manger seul.
Mieux vaut être en paix
qu'entouré de loups déguisés en agneaux.
Ce n’est pas le sang qui fait la famille,
c’est la loyauté.
— Make Me Read ©️✍️
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Certains enfants grandissent entourés de câlins, de rires, d’histoires du soir et de baisers qui soignent même les genoux écorchés.
D’autres, eux, apprennent trop tôt à être forts.
Parce que l’amour qui devait les protéger… n’est jamais venu.
Il y a des enfants qui ont des chambres pleines de jouets.
Et d’autres, juste la tête pleine de rêves.
Certains se sentent au centre du monde.
D’autres essaient juste de ne déranger personne.
🧸 L’enfance ne devrait jamais faire de mal.
Les larmes ne devraient pas couler sur des joues aussi petites.
Les regards tristes ne devraient pas habiter des corps aussi jeunes.
La vérité ?
Les enfants n’ont pas besoin de plus de choses.
Ils ont besoin de plus d’amour.
De bras qui rassurent.
De regards qui comprennent.
De mots qui protègent.
💛 Si tu as la chance d’être présent dans la vie d’un enfant, ne fais pas semblant d’être là. Sois vraiment là. Aime-le fort. Soutiens-le. Protège-le.
Parce que ce que tu déposes dans son cœur aujourd’hui…
C’est le monde qu’il bâtira demain. 🌱
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Il y aura ceux qui se souviendront de moi avec tendresse, et d’autres avec rancune. Ce n’est pas une contradiction, c’est de la cohérence.
Chacun a réveillé en moi
le reflet exact de ce qu’il a semé.
Je n’ai pas été la même pour tous,
car tous ne sont pas venus de la même manière.
Je ne suis pas un temple de patience, ni une source inépuisable de douceur.
Je suis une femme entière, faite de lunes, de tempêtes, de récoltes et de sécheresses.
À ceux qui sont venus avec amour, j’ai été refuge.
À ceux qui sont venus avec des mensonges, j’ai été miroir.
À ceux qui sont venus avec tendresse, j’ai été pain chaud.
À ceux qui sont venus pour m’utiliser, j’ai été lame.
Et je ne le regrette pas.
À mon âge, je ne porte plus les fautes des autres,
je ne m’excuse pas de m’être défendue.
Je ne cherche pas à ce que tout le monde parle bien de moi,
car je ne suis pas venue sur cette terre pour plaire,
mais pour vivre avec honnêteté, même si cela dérange.
La mémoire des autres ne m’appartient pas.
Et si quelqu’un se souvient de moi avec affection,
c’est qu’il a su toucher mon ÂME avec respect.
Et si quelqu’un se souvient de moi avec rancœur,
qu’il examine ce qu’il a donné,
car ce qu’il a reçu était l’écho de son propre geste.
Je suis ainsi : ni sainte, ni martyre, ni héroïne de conte.
Juste une femme réelle.
Et ce que j’ai donné, je l’ai donné avec vérité.
Et ce que j’ai refusé, aussi.
Et si un jour mes traces s’effacent,
que la leçon ne s’efface pas :
une femme libre n’est pas faite pour tous les regards.
Seulement pour ceux qui savent voir avec l’ÂME, et non avec l’ego.
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🦋 Parfois, tu traverses des phases étranges où tu ne sais plus vraiment qui tu es. Ce que tu étais ne te ressemble plus, mais ce que tu vas devenir n’est pas encore clair. Tu sens que quelque chose est en train de changer, mais tu ne peux pas encore mettre de mots dessus. C’est comme si tu avais quitté une vieille peau devenue trop étroite… sans avoir encore trouvé la nouvelle. Et dans ce flottement inconfortable, entre confusion et impatience, tu te demandes si tu avances vraiment. Mais c’est justement là, dans ce flou, que la vraie transformation commence… ✨
🌱 Ce sentiment d’être « entre deux rives », de ne plus appartenir à ton passé sans avoir encore trouvé ton futur, c’est un passage. Ce n’est pas un retour en arrière. Ce n’est pas une erreur. C’est une mue. Et une mue, par nature, ça gratte, ça bouscule, ça fait mal parfois. Mais ce n’est pas parce que tu as perdu tes repères que tu es perdu(e). Au contraire : tu es en train de te délester de tout ce qui ne t’appartient plus. Ce qui t’a aidé jusqu’ici… mais qui ne peut pas t’accompagner là où tu vas.
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Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie.
Nous sommes les enfants de ceux qui ont fait du mieux qu’ils pouvaient, avec ce qu’ils avaient.
Nous avons grandi dans les silences, ceux qui recouvraient ce qui ne s’est jamais dit.
Dans des règles qu’on ne remettait pas en question, dans des émotions contenues jusqu’à devenir invisibles.
Nous avons appris à lire les gestes plutôt que les mots, à survivre dans l’incertitude de ce qui ne se disait pas, à chercher un sens dans ce qui, pour eux, n’avait même pas de nom.
Il ne s’agit pas de juger leur niveau de conscience, mais de comprendre que chaque génération porte le poids de sa propre histoire. Nos parents furent eux aussi les enfants d’un temps où la vulnérabilité était un luxe, et l’introspection, un sentier peu emprunté.
Ils ont grandi dans un monde où les blessures ne se nommaient pas : on les endurait, simplement.
Où les limites étaient soit rigides, soit absentes.
Où l’amour se prouvait par le sacrifice, non par les mots.
Et pourtant, nous sommes là.
Apprenant à nommer ce qu’ils n’ont pas su dire.
À reconnaître les peurs qu’on nous a léguées sans le vouloir.
À nous accorder le droit de ressentir sans craindre d’être jugés.
Car guérir, ce n’est pas accuser, c’est comprendre : ce que nous avons reçu, c’est tout ce qu’ils ont su offrir.
C’est regarder leur histoire avec compassion, et la nôtre avec responsabilité.
Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie, mais nous avons choisi un autre chemin.
Il nous revient de dépasser ce que nous avons appris sans le renier, de construire sans démolir, d’honorer sans répéter.
Il nous appartient d’accepter que le passé ne peut être changé, mais que son écho peut être transformé dans notre vie.
Il nous revient d’accueillir nos blessures avec tendresse, d’en faire des sources de sagesse, et de nous permettre d’être, à chaque pas, la génération qui ouvre la voie à de nouvelles façons d’aimer, de vivre, d’exister, d’Être.
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Je suis la briseuse de cycles.
Pas parce que je suis plus forte.
Mais parce que je me suis relevée,
encore et encore,
là où tant d’autres n’ont pas pu.
Je suis celle qui a dit stop,
qui a regardé la douleur en face,
et qui a choisi de ne pas la transmettre.
Je suis celle qui a vu les schémas,
qui les a nommés,
qui les a sentis ronger les racines…
et qui a décidé d’arracher ce qui détruit.
Je suis celle qui a appris à aimer autrement,
à parler autrement,
à poser des limites,
à crier quand il fallait —
non pour blesser,
mais pour ne plus se taire.
Je suis la briseuse de cycles,
et parfois cela m’arrache la peau.
Parfois, cela me réveille la nuit.
Parfois, cela me fait douter de tout ce que je suis.
Mais je sais.
Je sais que c’est pour ça que je suis là.
Pour dire non à ce qui a été normalisé.
Pour dire oui à une vie plus juste, plus douce, plus libre.
Pour mes enfants. Pour les miens. Pour les miennes.
Pour moi.
Je suis celle qui porte dans son ventre des mémoires de guerre, de silence, de terreur…
et qui pourtant choisit la paix,
le verbe,
la conscience.
Je suis celle qui fait ce travail que personne ne comprend vraiment.
Celle qu’on accuse parfois d’être “trop”,
alors qu’elle est juste… lucide.
Et même lorsque je suis fatiguée,
même quand je suis seule dans cette traversée,
je continue.
Parce que je sais que ce que je plante,
d’autres le récolteront.
Parce que je sais que chaque larme libérée,
chaque parole vraie,
chaque pardon incarné,
ouvre une porte pour celles qui viendront après.
Je ne suis pas parfaite.
Je ne suis pas guérie de tout.
Mais je suis en marche.
Et cette marche,
est une révolution lente, intime, sacrée.
Alors si tu me vois tomber,
sache que je me relèverai.
Encore.
Et encore.
Parce que j’ai choisi que ça s’arrête avec moi.
Je suis la briseuse de cycles.
Et toi,
l’es-tu ?
Corinne De Leenheer
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Les âmes missionnées sont ciblées dès l’enfance. Pas pour rien. Pas par hasard.
Tu crois que c’est une malchance d’être tombée dans une famille qui ne te voyait pas ?
Tu crois que c’est une coïncidence si tu as été isolée, moquée, humiliée, blessée dès petite ?
Tu crois que c’est "ton chemin", que "tu as choisi ça" ?
Oui, peut-être.
Mais pas dans le sens qu’on t’a appris.
💥 Si tu es une âme missionnée :
Tu portes une fréquence hors norme.
Un feu, une mémoire, une vibration qui dérange les systèmes en place.
Et les systèmes le sentent.
🧬 Dès l’enfance, certains êtres lumineux sont repérés vibratoirement :
par l’ombre, par des entités, par des structures invisibles qui ont pour mission de les éteindre avant activation.
C’est souvent subtil.
Mais c’est chirurgical.
🔻 Voici les stratégies les plus courantes de sabotage précoce :
Famille dysfonctionnelle = insécurité affective dès le départ
Sentiment d’abandon = coupure du cœur
Traumatisme sexuel ou physique = rupture avec le corps
Violence verbale = destruction de l’expression
École = effacement du feu intérieur, zombification programmée
“Tu es trop sensible” = enfermement dans la honte du ressenti
“Tu es bizarre” = mise à l’écart précoce de la puissance
Tout ça n’est pas “malchance”.
C’est un plan de neutralisation vibratoire.
Parce que si tu t’étais éveillée trop tôt tu aurais renversé des codes.
⚠️ Ce n’est pas une vue de l’esprit.
C’est un fait énergétique.
Certains enfants brillent tellement qu’ils deviennent cibles à haute fréquence.
Pas pour leur karma.
Mais pour leur potentiel de disruption vibratoire.
💣 Tu ne t’es pas éteinte :
On a essayé de t’éteindre.
Et si tu es encore là.
C’est que tu n’as jamais été vraiment éteinte.
Juste enfouie. Programmée. Ralentit.
🔥 Mais ce que tu portes ne peut pas être effacé.
Juste anesthésié.
Et aujourd’hui, ça se réveille.
Pas malgré ce que tu as vécu.
Mais grâce à ce que tu as survécu.
✨ Mélanie – Althéa Énergie ✨️
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Elle n'est pas folle… elle a été maltraitée. Elle a appris à se taire dans des pièces où elle aurait dû être protégée. Elle a appris à survivre dans un amour qui ressemblait davantage à un champ de bataille. Elle n'est pas irrationnelle… elle porte en elle une douleur dont personne ne s'est jamais excusé. Le genre de douleur qui vous apprend à remettre en question votre propre réalité, simplement parce que quelqu'un d'autre voulait la contrôler.
Elle n'est pas stupide… elle a été manipulée. Il y a une différence. Bombardée d'amour, manipulée, trompée, empêtrée dans la souffrance de quelqu'un d'autre. Elle a cru aux mots plutôt qu'aux schémas parce qu'elle voulait y croire. On lui a appris qu'aimer signifiait endurer… alors elle a enduré. On lui a dit que tout était dans sa tête, alors qu'en réalité, tout était entre ses mains. Le contrôle, le silence, la culpabilité. Ce n'était pas de la stupidité. C'était de l'espoir… transformé en arme.
Elle n'est pas timide… elle se protège. Elle ne fait plus facilement confiance. Elle est sur ses gardes, non pas par envie d'être froide, mais parce que la chaleur l'a trahie autrefois. Elle est silencieuse parce que sa voix a été ignorée autrefois. Elle observe, calcule, étudie qui est en sécurité et qui fait semblant. Son silence est son bouclier… pas son défaut.
Elle n'est pas amère… elle dit la vérité. Dire ce qui s'est passé n'est pas de l'amertume. C'est du courage. Nommer la douleur est une guérison. Tenir les gens responsables, ce n'est pas s'accrocher à la haine… c'est refuser d'édulcorer les dégâts. Elle n'est pas en colère, elle est éveillée. Et elle a fini de se rapetisser pour que les autres soient à l'aise avec leurs propres méfaits.
Elle n'est pas figée dans le passé… elle a été blessée. Le traumatisme ne vit pas selon un calendrier. La guérison n'est pas linéaire. Parfois, le souvenir de la douleur ressurgit dans sa journée, sans qu'elle y soit invitée. Elle ne « demeure » pas, elle reconstruit. On ne peut pas rendre un cœur à sa plénitude, surtout lorsqu'il a été brisé par les mains mêmes qui le tenaient autrefois.
Elle n'est pas délirante… elle a vécu un cauchemar. Le genre de cauchemar qui sourit en public et vous détruit en privé. Le genre que personne ne croyait parce qu'il avait l'air charmant et elle l'air fatiguée. Elle n'exagère pas… elle a enduré. Elle n'est pas dramatique… elle a survécu. Elle n'est pas faible… elle était confiante. Elle accordait le bénéfice du doute. Elle croyait que l'amour suffisait. Elle pardonnait plus qu'elle n'aurait dû, restait plus longtemps qu'elle ne le méritait et aimait plus fort qu'elle n'était aimée en retour. Ce n'est pas de la faiblesse… c'est de l'humanité. Elle avait le cœur sur la main dans un monde qui essaie sans cesse de le lui arracher.
Elle n'abandonne pas… Elle guérit. Et cette guérison ? Elle est désordonnée. Elle est bruyante parfois, et silencieuse à d'autres. On dirait qu'on se retire. On dirait qu'on perd des amis. On dirait qu'on pleure sous la douche et qu'on sourit à des inconnus. Mais c'est réel. Et ça arrive. Alors ne vous méprenez pas sur son cheminement. Ne prenez pas son silence pour un abandon, ni ses larmes pour une défaite.
Elle n'est pas brisée… elle devient. Plus forte. Plus douce. Plus intelligente. Plus sage. Plus bruyante. Plus prudente. Plus puissante.
Elle n'est plus celle qu'elle était… et c'est tant mieux.
Une inconnue parmi d'autres.
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LA FIN D'UN LIEN...
Lorsque ton lien émotionnel avec quelqu’un finit par se briser, c’est comme si un voile se levait, dévoilant sa véritable nature : celle d’une personne ordinaire. La flamme que tu percevais en lui, cette magie que tu avais associée à sa présence, s’éteint peu à peu, et soudain, il apparaît tel qu’il a toujours été : un être humain, imparfait, avec ses failles et ses faiblesses. C’est un moment profond, une prise de conscience saisissante : ce n’était pas lui qui était exceptionnel, mais bien l’amour et l’énergie que tu investissais dans cette relation qui le rendaient si unique.
Tu vois, l’amour a ce pouvoir étrange d’embellir les gens. Lorsque tu es émotionnellement attaché, tu ne regardes pas seulement une personne, tu contemples un miroir de tes propres espoirs, de tes rêves et de tes sentiments projetés sur elle. Ton affection amplifie ses qualités, masquant souvent ses aspérités ou les différences qui auraient pu te heurter. C’est comme si tu l’éclairais d’une lumière douce et chaleureuse, qui la faisait briller. Mais lorsque cette lumière s’estompe, lorsque le lien émotionnel s’effrite, les ombres apparaissent, et avec elles, les détails que tu avais choisi d’ignorer.
Cela ne signifie pas que cette personne n’avait aucune valeur ou qu’elle n’a pas compté dans ta vie. Simplement, sans la lentille de l’attachement, tu la vois enfin avec lucidité, libéré des émotions intenses qui brouillaient ton regard. Ce que tu réalisais alors, c’était toi : ton amour, ton énergie, ta capacité infinie à magnifier les choses et les êtres. C’est toi qui l’avais paré de couleurs qu’il ou elle ne possédait pas forcément.
Et cette réalisation ? Elle est libératrice. Parce qu’elle te rend ton pouvoir. Tu comprends que ce n’était pas cette personne en elle-même qui était extraordinairement spéciale, mais la profondeur de ton amour, la richesse de ce que tu avais à offrir. Tu détiens ce pouvoir de créer de la beauté et du sens dans tes relations, simplement par l’énergie que tu y investis. Si tu as pu le faire une fois, tu pourras le refaire, avec quelqu’un qui saura honorer et répondre pleinement à cette énergie.
Cette prise de conscience t’offre aussi une leçon précieuse sur l’estime de soi. Elle te rappelle que l’amour que tu donnes a une valeur immense. C’est une force capable de transformer la connexion la plus banale en quelque chose d’extraordinaire. Alors, si une relation s’achève, si un lien s’efface, ne te concentre pas sur la perte de cette personne. Médite sur cette capacité incroyable que tu as d’apporter de la lumière dans la vie des autres et sois fier de toi.
À l’avenir, tu as désormais le choix de diriger cette énergie avec plus de conscience. Tu peux décider de la partager avec des personnes qui voient et apprécient vraiment ta singularité, plutôt que de compter sur toi pour magnifier la leur. Reconnais que c’est toi qui possèdes ce pouvoir de rendre une relation vibrante et profonde. Ton amour, ton énergie sont des cadeaux précieux qui méritent d’être offerts à ceux qui les honorent et les valorisent.
Alors, quand quelqu’un ne te semble plus aussi spécial qu’avant, considère cela comme une preuve de ton évolution. Tu vois désormais les choses avec clarté et maturité. Ce n’est pas une question de leur valeur, mais de ton propre cheminement. Laisse cette clarté te guider vers des relations où la magie circule dans les deux sens, où ta lumière est reçue avec autant d’intensité qu’elle est donnée.
Au fond, ce qui a toujours été le plus spécial, ce n’était pas cette personne. C’était toi.
Zaki BENAMEUR
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Les amis, nous arrivons bientôt au terme de cette année et j'aimerais vous partager un magnifique texte pour clôturer cette année, le voici :
Je ferme maintenant les histoires inachevées, les situations non résolues et les expériences mal digérées du passé.
J'y mets un terme, un seul suffit, une limite bien nécessaire à ce qui n'a plus de sens dans ma vie.
J'accepte de conclure cette phase de ma vie en me libérant de tout ce qui m'attachait à l'ancien et au dépassé.
Que mes anciennes expériences ne m'apportent pas le poids de la douleur, mais la sagesse qui guide mes pas.
Que je ne reste jamais dans ce qui me retient, m'étouffe ou me limite.
Que je sache me défaire de tout ce qui est improductif, que je sois ouvert à la nouveauté !
Je me laisse aller à la vie, aux changements et aux transformations.
Je mets fin à toutes les douleurs que je n'ai pas surmontées, à toutes les déceptions affectives que j'ai eues, à toutes les pénuries que j'ai traversées, à tous les maux physiques et émotionnels, à toutes les peines qui m'ont lié au passé.
Au nom de ma Présence Sacrée Je Suis, je détermine que tous les nœuds, tous les malentendus et toutes les non-conformités soient défaits maintenant.
Je ferme maintenant tous les cycles anciens, désagréable et difficiles.
Je suis conscient que j'ai rempli ma mission avec ces cycles, et qu'ils ont également rempli leur fonction avec moi.
J'avance dans l'apprentissage et la maturation, prêt pour le nouveau cycle qui commence.
J'accepte la fin et m'ouvre aux bénédictions des nouveaux départs, a tout l'amour, à la santé, à toute l'abondance et la prospérité qui m'attendent.
Ainsi soit-il !
Lady Helena
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De quoi as-tu peur ?
Aurais-tu peur de rencontrer ta foi ?
Ne te décourage pas, prends ma main et suis-moi.
Tu sais, ta foi, tu ne l'as jamais perdue, tu as simplement repoussé le moment pour la rencontrer.
Pour ma part, je l'ai ressentie à travers un grand silence.
Certains font de longs voyages, traversent des pays lointains mais quand ils reviennent dans leur quotidien, tout redevient comme avant. Pourtant, ils avaient bien senti cette énergie profondément dans leur cœur. Mais rien n'a vraiment changé.
Ce voyage se fait depuis l'intérieur de soi.
J'aimerais t'emmener où tout cela a commencé...
J'aimerais te donner cette confiance...
Sans cette confiance, sans cette foi, les années qui s'annoncent seront compliquées.
Alors fais ce pas et suis-moi.
Magali R.
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Pour certains, tu seras mystique.
Pour d'autres, tu seras folle... l'incomprise.
Pour les uns, tu seras une femme pleine de sagesse.
Pour quelques-uns, tu seras un bon exemple.
Pour certains, tu seras un danger.
Pour certaines personnes, tu seras une bonne amie.
Pour d'autres, tu seras responsable de tout.
Tu es juste le reflet de l'état de conscience des autres,
Donc...
SOIS TOUJOURS TOI-MÊME
Sans t'arrêter à ce que les autres pensent de toi.
Parce qu'il n'y a plus de grandeur dans tout l'univers, que la liberté d'être et le prouver avec ton existence.
Marianne
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J'aimerais commencer par ce magnifique texte de Marie Buisson avant de poursuivre
avec des messages canalisés. Le voici :
Je me suis assise un instant au bord de ma vie
J'ai regardé passer les gens qui l'avaient remplis
Il y avait des bons, des gentils et des méchants.
Vus d'ici je pouvais les contempler en pensant
Que certains l'avaient comblé de beaucoup de joies
Que d'autres, en revanche, avaient abusé de moi
Fallait-il, de ces derniers, regretter leur passage
Sachant qu'avec eux j'avais fait l'apprentissage
De la méfiance, du mensonge et de la trahison
Et qu'ils avaient été une leçon, me réveillant de mes songes
J'étais assise, sereine et à voir l'ensemble ainsi
Je me rendais compte qu'il ne restait que les bons et les gentils
A regarder dans ma direction avec franchise,
Je ne voyais plus les visages de mes méprises
Je me suis levée et vers la franchise j'ai tendu les bras
J'ai, d'un battement de cil, déshumanisé les scélérats
Le regard droit vers le reste de mon chemin
J'ai pris, pour le reste de la route, tous ces amis par la main et j'ai dit.... viens on part ensemble vers demain.